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Par angelilie, le 18.04.2017
c'est une valeur qui disparaît
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Par kelly13, le 18.01.2017
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Date de création : 01.03.2016
Dernière mise à jour :
02.05.2017
15 articles
«S’il vous plaît» et «merci» sont deux mots magiques qui nous ouvriront facilement de nombreuses portes dans notre vie.
Cela s’explique par le fait que nous aimons tous qu’on nous parle avec respect, qu’on nous demande la permission et qu’on nous montre sa reconnaissance.
Il s’agit d’une habitude que nous ne devons pas perdre, car c’est la base du civisme et de l’éducation dans notre société.
C’est demander la permission, saluer avec un sourire et traiter les gens avec amabilité qui marque toute la différence.
Il s’agit de valeurs et d’éducation visant à traiter avec respect les personnes qui nous entourent, pour sauver les «bonjour», «bonsoir» et «bonne nuit», tout comme la noblesse qui se cache derrière l’amabilité.

La noblesse qui se cache derrière le respect
Il est probable que depuis votre plus jeune âge on vous ait inculqué l’importance de ces mots magiques et d’être aimable envers les autres.
Être reconnaissant et généreux nous aide à améliorer la relation avec les personnes qui nous entourent et nous permet de nous sentir bien avec nous-même.
Être aimables et respectueux nous rend nobles et fortifie nos qualités, car d’une certaine façon, l’éducation que nous promouvons avec nos actions, se répercute en de bons actes envers nous-mêmes.
En d’autres termes, donner à la vie la couleur d’un sourire, du respect et de la rétribution est sans aucun doute une grande décision.
Comme nous le disions, nous devons nous efforcer de continuer à inculquer à nos enfants des valeurs telles que le respect ou l’amabilité, en montrant l’exemple et en établissant des limites claires qui ne violent pas la liberté des autres.

La liberté des autres signifie le respect de leur capacité d’opinion, d’expression de leurs sentiments, leurs pétitions, leurs conversations et leurs droits divers.
Être respectueux, c’est tout d’abord avoir une considération basique des sentiments des autres.
Pour y parvenir, il suffit de se demander comment nous aimerions que les autres nous traitent.
Toujours respecter les autres même si cela nous est difficile est essentiel si nous voulons que nos relations soient satisfaisantes.
Ainsi, nous ne devrions jamais mettre de côté la politesse. Pour cela, prenez par exemple l’habitude de :

Le tact et le respect émotionnel envers les autres
Il est important que nous soyons capables d’être respectueux envers les autres, mais aussi d’être délicats, d’employer le «je» correctement, d’être polis et de gérer correctement l’expression de nos sentiments, nos émotions et nos opinions.
Au moment de nous lier aux autres, nous pouvons échouer et ne pas parvenir à gérer ces situations de type social, ce qui peut générer du rejet, un isolement, ou une insatisfaction dans la façon d’agir.
Pour cela, nous devons prendre conscience que tout type de relation avec les autres doit se baser sur au moins trois objectifs :

Il y a tellement de façons de se montrer hostile ou mal élevé devant les autres.
Par exemple, trop parler de soi, insulter de façon subtile ou directe, abuser du sarcasme, ne pas regarder dans les yeux la personne qui parle, penser uniquement à sa réponse au lieu d’écouter, accaparer une conversation, interrompre, parler en même temps…
Comme nous pouvons le voir, les options sont infinies et très diverses. Nous devons donc prendre en considération les normes de relation non écrites en fonction du contexte.
Pour cela, il est essentiel de se demander si nos contributions respectent l’autre et si elles favorisent une bonne ambiance.
Toutes les émotions que vous refoulez dans votre for intérieur, parce que vous n’arrivez pas à les verbaliser, peuvent se fixer dans différentes parties de votre corps.
Les émotions génèrent des symptômes physiques, par exemple la peur, l’angoisse donnent des palpitations cardiaques, des vertiges, sueurs, tremblements ou mains moites.

Illustration tirée du livre de R.Fiammetti émotions refoulées
Il existe forcément un lien entre le corps et l’esprit. Face à notre esprit qui souffre et aux peines refoulées, le corps réagit également à sa manière. Dans le domaine de la psychologie, on parle de troubles psychosomatiques.
L’origine des troubles psychosomatiques ou quand l’esprit souffre se retrouve dans le fait de refouler ses émotions très intenses, ses sentiments que l’on n’arrive pas à assimiler et que nous gérons alors de manière négative. Si la tristesse et le chagrin finissent par alimenter nos pensées au quotidien cela peut nous entraîner vers la maladie, des douleurs et d’autres affections produites par l’esprit.
* LA PANIQUE peut provoquer des diarrhées.
* LA COLÈRE retenue ou la rancune : une crise de foie.
* LA DIFFICULTÉ A TROUVER OU A PRENDRE SA PLACE peut provoquer des infections urinaires à répétition.
* QUELQUE CHOSE QU’ON NE VEUT PAS ENTENDRE OU QUAND ON NE VEUT PAS S’ÉCOUTER, des otites, douleurs d’oreilles.
* QUELQUE CHOSE QU’ON N’A PAS OSÉ DIRE, QU’ON A RAVALÉ , une angine, des maux de gorge.
* UN REFUS DE CÉDER, DE PLIER, D’OBÉIR OU DE SE SOUMETTRE, des problèmes de genoux.
* PEUR DE L’AVENIR, PEUR DU CHANGEMENT, PEUR DE MANQUER D’ARGENT, des douleurs lombaires.
* INTRANSIGEANCE, RIGIDITÉ, douleurs cervicales et nuque raide.
* CONFLIT AVEC L’AUTORITÉ, douleurs d’épaules.
* TOUT PRENDRE SUR SOI, également douleurs d’épaules, sensation d’un fardeau.
* SERRER LES DENTS POUR AFFRONTER QUELQU’UN OU UNE SITUATION SANS RIEN DIRE…douleurs dentaires, aphtes, abcès.
* PEUR DE L’AVENIR, difficulté a aller de l’avant ,ou besoin de lever le pied :
* Douleurs dans les jambes, les pieds, les chevilles.
Maladies du foie : le foie représente les choix, la colère, les changements et l’adaptation.
On peut souffrir du foie quand on ne parvient pas à s’adapter à des changements, professionnels ou familiaux.
* Difficultés d’ajustement à une situation.
* Sentiment de manque continuel ou peur de manquer.
* Colère refoulée.
* Personnes sujettes aux maladies du foie : les personnes qui critiquent et qui jugent beaucoup (elles-mêmes et les autres) et/ou qui se plaignent souvent.
Maladies de la vésicule biliaire :
La vésicule biliaire est en rapport avec l’extérieur, la vie sociale, la lutte, les obstacles, le courage.
Se battre. Esprit de conquête.
* Se faire de la bile, s’inquiéter, s’angoisser.
* Sentiment d’injustice. Colère, rancune.
* Se sentir envahi, empiété sur son territoire par une personne autoritaire.
* Agressivité rentrée et ruminante, mécontentement retenu.
* Se retenir de passer à l’action. Difficultés à faire un choix, de peur de se tromper.
LA GLANDE THYROÏDE
* Profonde tristesse de ne pas avoir pu dire ce qu’on aurait voulu.
* Sentiment d’être trop lent par rapport à ce qu’on attend de nous.
* Impuissance, sentiment d’être coincé dans une situation, être devant un mur, dans une impasse.
* Être bloqué dans la parole ou dans l’action, être empêché d’agir.
* Pas le droit de parler, de s’exprimer. Ne pas se sentir écouté. Difficultés à s’affirmer.
* Une déception ou une injustice n’a pas été « avalée » et est restée en travers de la gorge.
LES HERNIES
En règle générale : de la détresse implose à l’intérieur et demande à être libérée.
Désir de rompre ou de quitter une situation où on se sent coincé, mais où l’on reste par peur de manquer de quelque chose, généralement du matériel.
Auto-punition parce qu’on s’en veut, incapacité à réaliser certaines choses qu’on voudrait.
Frustration de travailler dur, se sentir poussé à aller trop loin, ou essayer d’atteindre son but d’une manière excessive, qui en demande trop. Une poussée mentale (de stress) essaie de sortir.
Mais en plus, le lieu où siège l’hernie indique son message émotionnel de manière plus précise et complémentaire :
Hernie inguinale : (dans l’aine) : difficulté à exprimer sa créativité, secret que l’on renferme et qui nous fait souffrir. Désir de rompre avec une personne qui nous est désagréable, mais avec laquelle on se sent engagé ou qu’on est obligé de côtoyer. On aimerait sortir, s’extirper de cette situation.
Hernie ombilicale : nostalgie du ventre de la mère où tout était facile et où se sentait totalement en sécurité. Refus de la vie.
Hernie discale : conflit intérieur, trop de responsabilité, sentiment de dévalorisation, ne pas se sentir à la hauteur de ce qu’on attend de nous, projets et idées non reconnus. La colonne vertébrale représente le soutien.
Besoin d’être appuyé, soutenu, mais difficulté ou impossibilité de demander de l’aide.
Hernie hiatale : se sentir bloqué dans l’expression de ses sentiments, de son ressenti.
Refouler ses émotions.
Tout vouloir diriger, ne pas se laisser porter par la vie mais la contrôler.
LES GENOUX
Douleurs aux genoux, genoux qui flanchent, genoux qui craquent, douleurs aux ménisques : refus de plier, de se « mettre à genoux » (de se soumettre) de céder, fierté, ego, caractère inflexible ou au contraire, on subit sans rien oser dire, on s’obstine, mais nos genoux nous disent que nous ne sommes pas d’accord avec cette situation.
Difficultés à accepter les remarques ou les critiques des autres.
Les maladies LA PEAU, eczéma, acné, psoriasis
Les maladies de peau ont très souvent, à l’origine, un conflit de séparation mal géré, une séparation mal vécue, soit par la mère, soit par l’enfant, ou la peur de rester seul et un manque de communication.
Séparation aussi envers soi-même : dévalorisation de soi vis-à-vis de l’entourage. Porter trop d’attention à ce que les autres peuvent penser de nous.
Eczéma :
Chez les enfants, l’eczémapeut résulter d’un sevrage trop rapide ou d’une difficulté de la mère à accepter que son enfant ne soit plus « en elle ». Sevrage de l’allaitement ou reprise du travail de la maman et culpabilité non exprimée, mais que l’enfant ressent et somatise ainsi.
Querelles ou tensions dans la famille, que l’enfant ressent. Insécurité.
Acné : manière indirecte de repousser les autres, par peur d’être découvert, de montrer ce qu’on est réellement, parce qu’on pense qu’on ne peut pas être aimé tel que l’on est. Puisqu’on se rejette, on crée une barrière pour que les autres ne nous approchent pas.
Psoriasis : personne souvent hypersensible qui n’est pas bien dans sa peau et qui voudrait être quelqu’un d’autre. Ne se sent pas reconnue, souffre d’un problème d’identité. Le psoriasis est comme une cuirasse pour se défendre.
LES BRAS : Il y a de nombreuses causes émotionnelles liées aux douleurs et aux problèmes de bras.
Les bras sont le prolongement du cœur et sont liés à l’action de faire et de recevoir, ainsi que l’autorité, le pouvoir.
Les douleurs aux bras peuvent être liées à de la difficulté à aimer ce que je dois faire. Se sentir inutile, douter de ses capacités, ce qui amène la personne à se replier sur elle et à s’apitoyer sur ses souffrances.
LES ÉPAULES : c’est ce qui porte. Les épaules portent les joies, les peines, les responsabilités, les insécurités.
Le fardeau de nos actions et tout ce qu’on voudrait faire, mais qu’on ne se permet pas, ou qu’on n’ose pas…
On se rend responsable du bonheur des autres, on prend tout sur soi, on a trop à faire, on se sent écrasé, pas épaulé, pas soutenu.
Épaules rigides et bloquées : blocage de la circulation de l’énergie du cœur, qui va vers l’épaule, puis vers le bras, le bras donne (le bras droit) et reçoit (le bras gauche).
Ce blocage d’énergie est souvent retenu dans une articulation ou un tissu .
L’énergie doit circuler du cœur vers les bras pour permettre de faire, de réaliser ses désirs.
On porte des masques, on bloque ses sentiments, on entretient des rancunes (douleurs dans les trapèzes, surtout à gauche). parfois envers soi-même.
On paralyse ses épaules pour s’empêcher d’aller de l’avant, de faire ce qu’on aimerait vraiment. On prend le fardeau sur soi plutôt que d’exprimer ses demandes et ses ressentis, de peur de mécontenter l’autre.
Difficulté ou impossibilité à lever le bras : conflit profond avec sa famille, difficulté à voler de ses propres ailes.
sain-et-naturel.
Même en vous envoyant des messages sur les réseaux sociaux ou en allant à votre premier rendez-vous, vous avez une connexion. Elle est immédiate et difficile à expliquer. C’est comme si vous aviez déjà été ensemble toute votre vie.
Vous avez du mal à dire pourquoi, mais vous savez qu’elles vont jouer un rôle important dans votre vie.
Votre flamme jumelle fait ressortir la meilleure version de vous-même. Il y a quelque chose chez elle qui vous donne envie d’être une meilleure personne.
4. Vous êtes lié à votre flamme, mais vous êtes toujours libre.
Votre lien avec votre flamme n’est pas comme les autres, et pourtant vous êtes complètement libre.
Vous n’êtes pas obligé de passer chaque minute ensemble. Vous pouvez partir et faire ce que vous voulez pendant un temps. Votre flamme jumelle ne sera pas en manque d’affection.
Les flammes jumelles n’ont pas un rapport élève-professeur. Au lieu de cela, elles jouent toutes les deux le rôle de professeur. Elles savent qu’elles ont des choses à apprendre l’une de l’autre.
Pour les flammes jumelles, leur partenaire n’a pas besoin de changer. Elles aiment la personne pour qui elle est. Si leur partenaire veut changer, elles vont l’épauler.
Les flammes jumelles sont capables de communiquer honnêtement et librement entre elles. Elles n’ont pas peur de dire la vérité.
Il est difficile de savoir avec certitude quel est ce but. Vous savez seulement que vous êtes en route pour l’atteindre.
espritscience
Un amour mendié, ce n’est pas de l’amour
Un amour mendié, ce n’est pas de l’amour, c’est un manque de dignité et de respect envers soi-même.
Car lorsque vous aimez une personne, vous en prenez soin et vous faîtes tout ce qui est en votre pouvoir pour ne pas qu’elle souffre, vous n’êtes jamais à l’origine de la douleur.
Ainsi, si vous ne vous protégez pas des ce «faux amour», si vous n’évitez pas la souffrance, alors c’est que vous ne vous aimez pas.
Ainsi, s’aimer est la première chose à faire pour vivre l’amour dans la plénitude, pour ne pas tomber dans la manipulation, la maltraitance ou la victimisation. Vous pensez et ressentez sûrement que la souffrance est inévitable, cependant, ce n’est pas certain.
Tout être humain est capable de se dépasser, d’empêcher les autres de jouer avec ses sentiments et de dire qu’une relation ne le mérite pas car elle ne lui offre ni bonheur, ni joie, ni épanouissement.

La souffrance d’aimer une personne qui ne nous aime pas en retour
Se rendre compte que la personne que nous aimons ne nous aime pas en retour et qu’elle ne nous montre aucun signe d’affection ou de tendresse nécessite de respecter notre temps de douleur, lequel requiert un espace pour la compréhension de ce qu’il nous arrive.
Souffrir par amour nécessite de la réflexion et un surpassement, car l’angoisse de se rendre compte qu’une personne ne nous aime pas nous fait ressentir une chose qui nous dévore de l’intérieur.
Nous avons l’impression que ce «non-amour» a trahi nos sentiments et qu’il s’est moqué de notre capacité à aimer.
Il est essentiel de s’accorder du temps pour être en colère, pour nier la réalité, pour espérer, pour être épouvanté, pour toucher le fond, pour se rendre compte de tout ce qui est brisé en nous et de toutes les parties qui sont restées intactes, pour réparer les sentiments trouvés, etc.
Tout cela est indispensable pour nous aimer nous-mêmes, pour nous sentir importants et nous valoriser. Au bout du compte, lorsque nous laissons derrière nous un «non-amour», un processus de liberté émotionnelle débute dans le bien-être de pouvoir dire adieu à la souffrance.

Le manque d’intérêt tue la tendresse
L’amour doit être démontré, non mendié. Le faire, c’est se soumettre à notre capacité à aimer le pire des bourreaux : l’indifférence. En effet, l’indifférence vit du déséquilibre au sein d’une relation et se maintient grâce à la fragilité des ciments de base.
Ainsi, nous nous rendons compte que toutes les relations ne sont pas de l’amour véritable, qu’aimer n’obtient pas toujours de réciprocité et que pour être heureux en couple, il faut que les deux membres rient ensemble, soient complices et de bons amants.
Seul en l’absence de mensonges, d’excuses et de désintérêt peut se créer un amour qui base sa liberté sur des conduites saines et non soumises. Nous méritons une relation qui se base sur la complicité, l’estime, le temps passé ensemble et l’affection mutuelle.

Il est important de prendre soin de son estime et de s’aimer soi-même
Personne ne peut vous rendre malheureux sans votre consentement. Pour construire une relation de couple heureuse, il est nécessaire de s’aimer et de se valoriser. En d’autres termes, vous devez vous prouver chaque jour que vous vous aimez.
Une fois que vous y parviendrez, vous serez prêts à ne plus chercher des personnes qui ne vous regrettent pas et ne vous montrent aucun intérêt et à ne plus vous soumettre à l’indifférence qui vous oblige à plier sous les messages ignorés ou les silences infondés.
Peu importe les relations qui vous déçoivent, peu importe que vous ayez l’impression d’être aux côtés de l’amour de votre vie ou que vous ne croyiez pas à l’amour éternel.
L’amour véritable et indispensable, c’est l’amour de soi-même. Et c’est une fois que vous ressentirez cela que vous pourrez faire valoir ce que vous méritez et ce que vous ne méritez pas.
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5 blessures émotionnelles d’enfance qui persistent à l’âge adulte
Les problèmes rencontrés dans l’enfance prédisent comment sera notre qualité de vie lorsque nous serons adultes.
En outre, ils peuvent influencer de manière significative la façon dont les enfants d’aujourd’hui agiront demain et par ailleurs ils auront une influence sur notre manière de faire face à l’adversité.
Donc, en quelque sorte, à partir de ces 5 blessures émotionnelles ou expériences douloureuses d’enfance, nous allons former une partie de notre personnalité. Dans les lignes qui suivent, nous allons voir quelles sont nos blessures définies par Lise Bourbeau.
1- La peur de l’abandon
La solitude est le pire ennemi pour celui qui a vécu un abandon durant son enfance. Il y aura une attention constante à ce manque, par conséquent, celui qui a en a souffert, abandonnera ses partenaires et ses projets de façon précoce, de peur d’être abandonné.
Ce serait quelque chose comme «je pars avant que tu me laisses», «personne ne me soutient, je ne suis pas prêt à supporter cela», «si tu t’en vas, ne reviens pas …».
Les personnes qui ont souffert d’abandon dans l’enfance, devront travailler leur peur de la solitude et leur peur d’être rejetées.
La blessure causée par l’abandon n’est pas facile à guérir. Ainsi, vous serez conscients que vous avez commencé à guérir lorsque la crainte d’avoir des moments de solitude disparaîtra et un dialogue intérieur positif et plein d’espoir commencera à circuler en vous.
2 La peur du rejet
C’est une blessure profonde, parce qu’elle implique le rejet de notre être intérieur. Avec le mot intérieur nous nous référons à nos expériences, nos pensées et nos sentiments.
On peut expliquer l’apparition du sentiment de rejet par de nombreux facteurs qui peuvent l’influencer, tels que le rejet des parents, de la famille ou des pairs. Il génère des pensées de rejet, le sentiment de ne pas être désiré et une disqualification de soi-même.
La personne souffrant de cette expérience douloureuse ne se sent pas digne d’affection ou de compréhension et elle s’isole dans son vide intérieur, de peur d’être rejetée.
Il est probable que les personnes qui ont vécu cela dans leur enfance, seront des personnes insaisissables. Donc, nous devons travailler nos peurs intérieures et ces situations qui nous génèrent une panique.
Si tel est votre cas, prenez soin à faire attention à vous, à prendre des risques et à prendre des décisions pour vous-même.
À chaque fois, vous serez un peu moins dérangé que les personnes s’éloignent de vous et lorsqu’elles vous oublieront à un certain moment, vous ne le prendrez plus comme quelque chose de personnel.
3- L’humiliation
Cette blessure est générée au moment où nous pensons que d’autres nous désapprouvent et nous critiquent. Nous pouvons générer ces problèmes à nos enfants en leur disant qu’ils sont stupides, mauvais ou qu’ils sont lourds, ou bien en racontant leurs problèmes aux autres. Cela détruit l’estime de soi de l’enfant.
Ces personnes auront une personnalité dépendante. De plus, nous pouvons avoir appris à être des «tyrans» et des égoïstes comme un mécanisme de défense et même à humilier les autres, pour nous en servir comme un bouclier protecteur.
Avoir souffert de ce type d’expérience nécessite de travailler notre indépendance, notre liberté, la compréhension de nos besoins et de nos peurs ainsi que nos priorités.

4- La trahison ou la crainte de faire confiance
Elle apparaît lorsque l’enfant s’est senti trahi par un de ses parents surtout, si celui-ci n’a pas remplit ses promesses.
Cela peut générer une méfiance qui peut être transformée en envie et en d’autres sentiments négatifs, puisqu’on ne se sent pas digne de ce qui a été promis et de ce que les autres ont.
Avoir souffert de ces problèmes dans l’enfance construit des personnes manipulatrices, qui veulent tout contrôler et bien contrôler. Si vous avez subi ces problèmes durant l’enfance, vous êtes susceptibles de sentir la nécessité d’exercer un certain contrôle sur les autres, ce qui est souvent justifié par un fort caractère.
On voit souvent leurs erreurs de ces personnes dans leurs manières d’agir. Il s’agit donc de travailler la patience, la tolérance et le savoir vivre tout comme apprendre à être seul et à déléguer des responsabilités.
5- L’injustice
Elle résulte d’un environnement dans lequel les principaux protecteurs sont froids et autoritaires. Dans l’enfance, une exigence trop importante qui dépasse les limites génère des sentiments d’impuissance et d’inutilité, à la fois dans l’enfance et à l’âge adulte.
Les conséquences directes sur le comportement de ceux qui en ont souffert seront la rigidité, car ces personnes tentent d’être très importantes et d’acquerir une grande puissance.
De plus, il est probable que cette injustice crée un fanatisme pour l’ordre et le perfectionnisme et une incapacité de prendre des décisions en toute confiance.
Il est nécessaire de travailler la méfiance et la rigidité mentale, pour générer un maximum de flexibilité et permettre d’avoir confiance en les autres.
Maintenant que nous connaissons les cinq blessures de l’âme qui peuvent affecter notre bien-être, notre santé et notre capacité à nous développer en tant que personnes,nous pouvons commencer à mettre en place un processus de guérison.
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Ce n’est pas le temps qui nous fait comprendre que les blessures de la vie méritent d’être affrontées et nous permettent de renouveler notre esprit.
Ce sont les blessures et les coups dans le ventre qui retournent notre monde et démantèlent notre vie.
Sortir d’une bataille blessé ou endolori est la meilleure façon de comprendre que dans la vie il existe des milliers de raisons d’avoir mal.
La douleur a une couleur si triste, comme les chemins remplis de feuilles mortes brisées par le passage des passants.
Mais ce passage est tout autant nécessaire pour se régénérer, que l’automne pour la floraison de nos arbres.
Lorsque le ciel se couvre, seul un regard savant, forgé dans la mélancolie, peut apprécier sa beauté et sa raison. La pluie, tout comme les larmes, a le pouvoir de tout nettoyer et de nous aider à contempler avec clarté ce qui nous entoure.
La pluie tombe car les nuages ne peuvent plus supporter le poids. Les larmes coulent car le coeur ne peut plus supporter la douleur.

La sagesse, c’est bien plus que le simple passage du temps
Les années nous font percevoir l’accumulation de batailles perdues ou de sentiments ressentis. Le temps nous enveloppe, nous et nos bagages, et nous fait repenser à nos blessures.
Les années et les blessures forment le duo parfait pour construire des terrains à semer à chacun de nos passages. En d’autres termes, ils nous offrent la possibilité de profiter d’un regard expérimenté qui va bien plus loin que la vision, que les yeux et que le temps à lui tout seul.
Si vous avez déjà souffert, vous pouvez comprendre qu’en réalité tout est beau, tout est relatif, et tout est nouveau.
Cela s’avère paradoxal de se rendre compte que le moment où vous commencez à changer coïncide avec le moment où vous commencez à vous acceptez tel que vous êtes.
Il n’est pas nécessaire d’attendre d’arriver au troisième âge pour savoir que notre connaissance peut aller bien plus loin que le filtre de l’esprit.
Entre les quatre murs de la sagesse se trouvent un terrain d’intuition émotionnelle, un oasis d’enseignements et un paradis pour la maturité.
La maturité émotionnelle n’est pas la maturité physique. Notre corps se développe irrémédiablement avec le passage des années. Nous vieillissons et nous nous ridons, sans pouvoir l’éviter.
Nous ne pouvons pas affirmer que les années qui passent apportent avec elles un développement psychologique parallèle, même si, évidemment, elles y sont également pour quelque chose.

Il existe des centaines de manuels qui nous enseignent à développer des habilités que vous n’auriez même pas imaginées.
Cependant, il n’y en a aucun qui nous aide à nous débrouiller dans la vie, et personne ne nous dit comment nous devrions grandir émotionnellement.
Nous ne pouvons l’apprendre qu’en essayant ou en commettant des erreurs (ou plutôt en tombant et en se relevant).
Ne pas avoir une vie facile nous apprend à passer par les chemins les plus compliqués qu’il existe. Il ne s’agit pas de meubler notre tête avec des pièces de la meilleure qualité, mais d’étudier notre coeur et nos émotions.
Les blessures et la souffrance que cela occasionne nous aident à développer notre intelligence émotionnelle, à accepter ce qui vient, à avancer tranquillement et à analyser notre personnalité intérieure sans crainte, faisant un clin d’oeil à toutes ces situations compliquées qui un jour nous ont fait tomber.
Parfois, l’aspect éphémère des choses essentielles nous frappe avec force et détruit notre château. Mais il nous reste encore tout un parcours vital à côté de cette partie de nous qui a souffert ou qui souffre encore. C’est pour cela que nous devons en prendre soin…
Comme la plupart d’entre nous le savons déjà, la souffrance n’est pas un chemin que l’on peut connaître à travers un livre, c’est un pas vers la liberté et le courage d’un coeur tendre ancré dans la réalité que nous avons déjà tous connue.
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